Il existe une légende chez les marins qui explique que des milliers d’hommes ont entendu le chant des sirènes et que plusieurs d’entre eux sont disparus au plus profond des eaux. Selon cette tradition, le capitaine d’un navire doit éviter certains endroits maritimes précis car le malheur peut s’abattre sur lui et sur tout son équipage. Malgré tout, par esprit de défi, d’incrédulité ou simplement d’ignorance, plusieurs capitaines ont ignoré de tous temps cet avertissement et ont quand même pénétré ces lieux singuliers.
Selon les récits des rares survivants, ces lieux sont toujours brumeux, sans vent, tranquille, ceinturés par des montagnes de pierres. Puis soudainement, des notes de musique douce jouent dans votre tête, suivie de chants féminins mélodieux et attirants qui originent des fonds marins. Selon les racontars, les hommes ainsi séduits perdent complètement la tête et se jettent subitement à la mer en tentant de rejoindre les voix. Sans le secours des autres hommes, ils disparaissent dans les antres noirs de la mer. Personne ne les revoit plus jamais par la suite.
Quelques courageux hommes ont voulu vivre cette expérience particulière en toute sécurité. Ils ont demandé aux autres marins de les attacher aux mats et de ne les laisser partir sous aucun prétexte. Pour se protéger, les marins libres ont couverts leurs oreilles de graisse de baleine et de chiffons solidement serrés. Aucun son ne pouvait les atteindre.
Selon les écrits retrouvés, lorsque ces braves ou innocents hommes enchaînés ont entendu les voix des sirènes, ils sont devenus en transe, leurs yeux sont devenus vitreux et perfides. Ils ont ensuite tentés de plonger dans la mer, mais lorsqu’ils se sont vus prisonniers et incapables de se libérer, ils ont imploré leurs amis de les libérer. Ces derniers, bien entendu, ont refusé leur requête.
ہ ce moment, la même histoire nous est racontée par différents auteurs. Les marins, enchantés par les voix des ensorceleuses ont tous réagis de la même manière. Ils se sont mis à gémir, à se plaindre, à râler, à pleurer, à geindre en suppliant qu’on les libère. Leurs yeux exorbités et leur visage rouge et en sueur quémandaient, imploraient pour leur liberté, comme si un feu infernal courrait dans leurs corps meurtri. Par la suite, comprenant que personne n’abdiquerait à leur demande, ils se sont mis à se mordre les lèvres, les bras, les mains, à se contorsionner dans tous les sens pour s’échapper. Mais vous savez, qui de meilleur au monde pour faire un nœud résistant qu’un marin expérimenté!
Malgré tous les mouvements intenses de leurs corps, malgré toutes les blessures et les supplices qu’ils se sont infligés, personne ne les a libérés. Leurs tortures semblaient insoutenables selon les aveux de leurs compagnons, tellement que certains ont songé, malgré les ordres, à les libérer. Par bonheur, la zone enchanteresse est de courte durée selon les informations recueillies. C’est pourquoi leur malheur n’a pas duré.
La légende affirme aussi qu’une fois sortis de cette zone interdite, les malheureux, une fois détachés ne se souvenaient plus de rien. Ils avaient perdu la conscience pendant cette courte partie de leur existence. Chose étonnante, ces hommes ont par la suite ressenti une fatigue énorme, inhabituelle et ont dormi pendant plusieurs jours consécutifs. Certains ont perdu leurs cheveux, pour d’autres ils ont blanchi, pour certains la peau a subi des rougeurs, d’autres ont perdu l’appétit. Par contre, le lien commun qui les unit est que tous sont devenus tristes, déprimés, abattus, neurasthéniques, mélancoliques comme cet état perfide qui frappe les gens qui ont perdus dans leur vie la personne qu’ils aimaient le plus.
Malheureusement, le prix à payer pour avoir voulu défier le sort fut encore plus terrible et cruel. Les autres marins et les familles des malheureux ont raconté que les pauvres bougres, une fois retournés au sol, ont tous sombré dans l’alcoolisme, la dépression ou même la folie. Beaucoup d’entre eux sont partis sans qu’on ne les retrouve. Certains ont des années plus tard été revus errant la nuit dans les rues comme des fantômes. Il semble qu’ils pleuraient encore et gémissaient.
Un bon conseil : sous aucun prétexte, n’allez demander à un marin de vous raconter ces histoires de sirènes. Vous pourriez être très mal accueilli. Pour des raisons de superstitions, de malheur ou tout simplement la peur de paraître ridicule, ils ne vous raconteront pas ces histoires. Par contre, si vous prenez le temps de gagner leur amitié et leur confiance et si vous êtres prêt à débourser de bonnes sommes d’argent pour étancher leur soif, alors peut-être, peut-être accepteront-ils alors de parler et de vous raconter la légende des sirènes!
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Il est 8 heures 20 minutes et le déclic se fait entendre à l’autre bout du fil. Une voix mélodieuse me répond, à mi chemin entre celle d’une jeune fille et celle d’une femme. Une douceur enivrante, une gentillesse remarquable, une féminité qui se ressent aisément. Une magnifique voix téléphonique, je suis chaviré, sous le charme. Une voix de sirène! Elle peut me recevoir au salon à 10 heures pour 1 heure. Je suis aux anges.
J’arrive au salon, j’entre et je descends au demi-sous-sol. Jenny me reçoit avec son sourire enjôleur et je suis conquis.
Un peu plus tard, elle m’offre de la masser, et j’accepte rapidement pour éviter qu’elle change d’idée. Je caresse son dos, son cou, ses hanches, ses fesses, ses cuisses, ses pieds et j’accepte de payer une petite option qui me permet un accès à un terrain fertile aux émotions. Je l’embrasse dans le cou, ma main gauche qui tient sa douce main et ses petits doigts féminins, tandis que ma main droite effleure l’endroit rendu accessible. Elle semble apprécier et roucoule un peu, gémit tendrement. Elle m’offre de se retourner. Décidément, elle doit avoir la faculté de télépathie. Elle est sur le dos et sa poitrine est magnifique, des seins généreux ornés de belles aréoles et de mamelons succulents. Je redeviens un nourrisson l’espace de quelques minutes!
Jenny ne laisse pas le client sombrer dans la routine. Au moindre signe d’essoufflement, elle modifie les positions. Elle s’est maintenant relevée, elle est assise devant moi et elle tient Petit-Moi dans ses deux mains. Elle est à ma hauteur et le mouvement de va et vient qu’elle fait avec l’extension de mon corps fait en sorte que j’ai l’impression de faire l’amour avec elle. Lorsqu’à nouveau je recommence à saisir le temps présent, elle m’offre de m’allonger sur la table de massage et de profiter pleinement de la vue. Elle exerce ses multiples habilités sur mon appendice, tellement que je lui demande de faire durer le plaisir. Inutile de le demander, elle le savait déjà. Elle me demande seulement de m’aviser lorsque je serai très prêt avant qu’il ne soit trop tard. Elle invente une nouvelle position ou j’ai plein accès sur son magnifique popotin et le plaisir continue de plus belle.
Le temps est arrivé de conclure cette grandiose symphonie sur une finale intense en crescendo ou l’archet du violon sera mis en évidence. Jenny, sueforum.xxxe virtuose de composition, une cheffe d’orchestre sous parfait contrôle joue du violon dans une fin haute en couleurs et en intensité. Elle est assise sur mes jambes, devant moi, me surplombant, faisant vibrer l’archet. Sa bouche est magnifique, ses yeux désirables, de belles petites oreilles et des cheveux un peu roux illuminent cette jolie sirène. Je suis trop loin de son visage et je me relève pour la voir de plus près, toucher ses seins, son dos, son visage. Sa bouche caressante se rapproche de la mienne et lorsque je tente de la saisir, elle se retire lentement. Je me sens comme Tantale qui avec une soif et une faim dévorante ne peut les combler car l’eau et les fruits disparaissent lorsqu’il s’en approche. Par contre, contrairement au malheureux, Jenny me comble par d’autres soins tout aussi délectables.
Jenny ressent mon corps qui se raidit et elle me sourie. Ses habiles mains continuent leur travail de caresse et soudainement entre ses beaux doigts féminins émerge ma semence chaude. Je ne suis qu’un corps en extase, ignorant du monde autour de moi, de ses bonheurs et de ses malheurs. Je ne sens que le plaisir, le plaisir intense et le ravissement.
De retour sur terre, je vois Jenny qui me sourit gentiment avec satisfaction. Elle me fait me recoucher et part chercher une serviette chaude. Elle essuie lentement mes effluves et me dit de ne pas bouger. Jenny fait maintenant un service que j’aimerais que toutes les masseuses érotiques offrent. En effet, au lieu de nous bousculer à nous lever et à prendre notre douche, elle prend quelques minutes supplémentaires pour me masser le dos, les épaules, les bras. Que c’est bon, que c’est doux, et mon cerveau revient à la normal. J’apprécie énormément ce petit extra qui me donne le temps de reprendre mes esprits.
Finalement. Elle prend une douche, je fais de même. Je m’habille et nous réglons les petits détails mercantiles. Nous nous embrassons de nouveau à la française et elle me conduit à la porte.
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Depuis que j’ai vu Jenny, je crois que sa voix m’a enchanté. Je dors plus, je mange moins et je pense à elle. Je n'avais jamais cru auparavant à la légende des sirènes, mais ce n'est plus le cas. C’est pourquoi, j’aimerais vous raconter maintenant la légende des sirènes!
Amant Romantique
Merci Jenny pour ta gentillesse, ton accueil, ta beauté et tes services. Je te recommande à tous ceux qui veulent un excellent massage dans tous les sens du mot. Il est bien sûr évident que nous nous reverrons. Je sais que tu liras mon texte. J’espère que tu l’apprécieras comme moi j’ai apprécié notre rencontre.